La création et le traumatisme

Comment révéler votre
qualité unique dissimulée au
cœur de votre traumatisme ?

 

     Tout d’abord, il s’agit d’envisager que vous avez un traumatisme.

Que le mécanisme de votre histoire prend forme dans tous les instants de votre vie.

Tous les chocs :

  • plus ou moins graves,
  •  plus ou moins conscients,

Tout ce qui vous a construit, formaté, et qui se répète inlassablement.

     Une fois ces considérations acquises.

 

 

Il y a plusieurs critères à mettre en œuvre, pour découvrir votre qualité unique. En voici une première partie:

  • lorsque vous êtes triste, en colère, énervé….etc, considérez que vous avez le droit, et qu’il n’y a rien de grave
  • Envisagez que le petit (te) qui est en vous à besoin de « cocooning ».
  • Alors, accordez-lui un instant d’affection (un bonbon, un petit mot gentil de vous à vous, une balade….)

Je pourrai résumer en vous disant tout simplement que lutter contre votre fonctionnement, vouloir vous

changer  à tout prix, est stérile et ne sert à rien.

 

 

  • Et si on n’avait pas besoin de changer ?

Il suffit d’accompagner vos petits ou grands défauts, vers une autre destination.

  • Pour cheminer vers la qualité de ce qui était avant votre « imperfection » et deviendra votre plus grande qualité.
  • Votre capacité unique ainsi dévoilée, vous amènera à la divulguer et à la matérialiser sur terre.

      Le « Dialogue d’Art Vivant Intégral Évolutif© » vous y aidera.

La création et le traumatisme

Comment découvrir dans votre traumatisme,  votre plus grande qualité  et ainsi  accéder à votre créativité.  Vous  pourrez alors installer, grâce au concept « Dialogue d’Art Vivant Intégral Évolutif », la traduction, processus essentiel pour matérialiser votre création.

LE TRAUMATISME

Je vais commencer mon propos par le traumatisme. Il s’agit   d’appréhender  l’incarnation de  l’histoire de  tout individu.  Ce qui l’habite, ce qui  l’a construit intérieurement, tous les chocs plus ou moins graves, plus ou moins conscients, qui demeurent en nous et qui nous  ont formatés.  Soyons clairs, Je  ne fais pas ici un article sur le traumatisme, mais bien sur la création.

CRÉATION

– Peut-on alors appeler  création, si la finalité ne représente que la mise en forme de l’expérience traumatique ?

–  Peut-on appeler création, si l’expérience créative est en lien direct avec le traumatisme ?

Il y a plusieurs critères à mettre en œuvre pour être dans la création.  En voici une première partie[1] : pour l’avoir expérimenté personnellement, rentrer en lutte contre son traumatisme, est stérile et ne mène à rien. Il convient par conséquent :

Tout d’abord,  de Le regarder,  l’examiner, le reconnaître,

Et ensuite, de le transcender, car une sublimation devient à présent possible.

Simple me direz-vous.

Développons  un peu. Nous avons  tous nos petits ou gros travers, qui nous polluent et qui polluent aussi notre entourage et  font partie intégrante de notre personnalité. Pas si simple de changer.

– Et si on n’avait pas besoin de changer ?

S’il suffisait après l’avoir vu, après l’avoir nommé,  d’avoir la possibilité de l’emmener vers une autre destination. Cela  ne nous parasiterait plus, ferait toujours partie intégrante de nous, mais  nous ferait cheminer vers la qualité de ce qui était avant notre « imperfection » et deviendrait par là, notre plus grande qualité. Pour arriver à cet objectif, encore faut-il le voir. C’est un long cheminement qui ne peut se faire d’un claquement de doigts.

Le but premier de tout ceci,  est  de ne pas contaminer ce que l’on va matérialiser, ce que l’on va faire apparaître de l’invisible. Et  notre qualité unique, ainsi dévoilée,  révélée, viendra au service de ce qui nait de la lumière.